vendredi 6 janvier 2012


1er janvier

Première étape du 1er Janvier 2012 : le City Walk. Moe nous dépose, comme il le fera pour le reste de notre séjour chez lui. Le city walk est un peu le disney village d'universal studio. Des magasins de bonbon en folie, des memorabilia de Presley et Monroe des mugs aux tabliers en passant par l’étui à clopes. Et des restau à gogo. L'ambiance est très USA dans sa version Amusement Park. Et comme c'est noël, les Jackson 5 sont encore notre fond sonore.










seriously?!

une Marilyn en bonbons!




le vide grenier Presley




Etape suivante : Hollywood Boulevard. Une étape obligatoire bien qu'on nous a dit et re-dit que c'était franchement bidon (et ça l'est..). Par contre ici, du MJFact en veux-tu en voilà, des PLV au chapeau dédicassé en passant par la précieuse et convoitée étoile (je viens d'apprendre que les enfants allaient inaugurer les « empruntes » de Michael devant le Chinese Theatre dans deux semaines...crap!). Bref je ne regrette pas d'être passée.












Moe repasse nous chercher et nous amène au Griffith Observatory, en haut des collines de L.A. Et qui surplombe la ville. La vue est superbe, on y passe tout le reste de la journée, comprenant un film dans le planétarium sur les mystères de notre place dans l'univers. Une leçon d'humilité à coup de musique pompante à l'Américaine.








 déjeuner avec superbe vue






Ce soir : ciné (gratuit grâce à Moe). New Year's Eve. Pas de quoi casser trois pâtes à un canard mais relaxant, comme attendu. De plus, MJFact lors de cette bande annonce:
et à la fin de notre film, quand Zac Efron se met à esquisser des MJ steps.

v'la les cinémas de L.A. ...

Sur notre hôte :
un iranien établit à L.A. depuis quelques années pour étudier la pharmacologie et rêver de devenir movie director. Il n'a d'ailleurs pas manqué de nous parler de sa rencontre avec un agent d'Hollywood qui lui a commandé un James Bond iranien. Un mec très gentil ce Moe, très généreux à nous emmener partout, nous héberger, nous faire le ptit dèj. Mais extrêmement bavard, très imbu de lui même et surtout franchement raciste sur les bords. Du coup, il a fallu prendre sur nous lors de ses tirades sur le fait que certaines civilisations ont été inutiles, que l'intelligence et le génie sont génétique, que les Afro Americains sont paresseux, que les Mexicains sont de braves gens mais franchement cons et bons à rien à part les tacos...
Toutes ces conneries toute fois entre coupées de monologues intéressants sur l'Iran et l'ancienne poésie Perse (un grand fan de Rami).



Un cap a également été franchi lorsque, sur le chemin retour du ciné, et avant d'aller nous coucher, Moe s'est mis à vouloir en savoir plus sur Michael et pourquoi je l'aimais tant.

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