1er janvier
Première étape du 1er
Janvier 2012 : le City Walk. Moe nous dépose, comme il le fera
pour le reste de notre séjour chez lui. Le city walk est un peu le
disney village d'universal studio. Des magasins de bonbon en folie,
des memorabilia de Presley et Monroe des mugs aux tabliers en passant
par l’étui à clopes. Et des restau à gogo. L'ambiance est très
USA dans sa version Amusement Park. Et comme c'est noël, les Jackson
5 sont encore notre fond sonore.
seriously?! |
une Marilyn en bonbons! |
le vide grenier Presley |
Etape suivante :
Hollywood Boulevard. Une étape obligatoire bien qu'on nous a dit et
re-dit que c'était franchement bidon (et ça l'est..). Par contre
ici, du MJFact en veux-tu en voilà, des PLV au chapeau dédicassé
en passant par la précieuse et convoitée étoile (je viens
d'apprendre que les enfants allaient inaugurer les « empruntes »
de Michael devant le Chinese Theatre dans deux semaines...crap!).
Bref je ne regrette pas d'être passée.
Moe repasse nous chercher
et nous amène au Griffith Observatory, en haut des collines de L.A.
Et qui surplombe la ville. La vue est superbe, on y passe tout le
reste de la journée, comprenant un film dans le planétarium sur les
mystères de notre place dans l'univers. Une leçon d'humilité à
coup de musique pompante à l'Américaine.
déjeuner avec superbe vue |
Ce soir : ciné
(gratuit grâce à Moe). New Year's Eve. Pas de quoi casser trois
pâtes à un canard mais relaxant, comme attendu. De plus, MJFact
lors de cette bande annonce:
et à la fin de notre film, quand Zac Efron se met à esquisser des
MJ steps.
v'la les cinémas de L.A. ... |
Sur notre hôte :
un iranien établit à
L.A. depuis quelques années pour étudier la pharmacologie et rêver
de devenir movie director. Il n'a d'ailleurs pas manqué de nous
parler de sa rencontre avec un agent d'Hollywood qui lui a commandé
un James Bond iranien. Un mec très gentil ce Moe, très généreux à
nous emmener partout, nous héberger, nous faire le ptit dèj. Mais
extrêmement bavard, très imbu de lui même et surtout franchement
raciste sur les bords. Du coup, il a fallu prendre sur nous lors de
ses tirades sur le fait que certaines civilisations ont été
inutiles, que l'intelligence et le génie sont génétique, que les
Afro Americains sont paresseux, que les Mexicains sont de braves gens
mais franchement cons et bons à rien à part les tacos...
Toutes ces conneries
toute fois entre coupées de monologues intéressants sur l'Iran et
l'ancienne poésie Perse (un grand fan de Rami).
Un cap a également été
franchi lorsque, sur le chemin retour du ciné, et avant d'aller nous
coucher, Moe s'est mis à vouloir en savoir plus sur Michael et
pourquoi je l'aimais tant.
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